L'eau et chant, naturellement, ce n'est pas une sirène pour rien. Quoique le chant n'est pas vraiment un pouvoir, mais plutôt un des talents de Miyu. Elle est très très habile à l'épée et au fouet, c'est une épéiste hors pair d'où son surnom de Setsu qui signifie "lame tranchante".

Son Katana "Eien no Kori" Glace éternelle [Expliqué dans l'histoire]
Son fouet, Hebi, offert par Hebumi.
Et son corps bien sûr.

• Description physique

Commençons d’abord par décrire l’apparence que prend Miyu lorsqu’elle est en société. Bien que ce ne soit pas sa véritable apparence.

La forme scellée de Miyu ressemble à tout humain normal. C’est une jeune fille avec de très longs cheveux blonds, qui encadrent un visage délicat. Elle a un visage qui fait que tout le monde veut lui faire confiance… Si seulement ils savaient… Elle est de taille normale, a un corps assez avantageux cependant, de longues jambes fuselées surmontées d’un ventre plat lui-même surmonté d’une poitrine assez avantageuse, juste ce qu’il faut pour attirer ses proies.

Miyu a pour habitude de s’habiller avec des jupes ou des robes, avec une chemise et un foulard, elle est très féminine.

Vous voyez, une humaine normale… Ce qui pourrait trahir sa véritable nature sont ses yeux. Ils sont d’un bleu très clair, voire translucide. Or, tout le monde sait que les succubes aquatiques, sous forme scellée ont cette couleur d’iris.

Sous sa forme originelle de succube aquatique (qu’on appelle plus communément sirène), Miyu a de très longs cheveux blonds, en fait, ils ont la même longueur que son corps en entier. C’est une des particularités des succubes, leurs cheveux poussent en même temps qu’elles grandissent si elles ne les coupent pas bien sûr. Et Miyu n’a jamais voulu couper ses cheveux. Ces cheveux encadrent un visage très singulier. Des yeux d’un bleu très profond, tels deux saphirs les plus purs. Et son regard… Un regard envoutant et provocateur, un véritable regard de sirène. Son corps est plus qu’avantageux, c’est un véritable appel à la luxure. Elle a des courbes voluptueuses. Ses habits sont toujours les mêmes, de couleur rouge. Oui elle ressemble à une sirène normale. Par-dessus, il lui arrive de porter un déshabillé rouge. A son soutien, pendent de petites perles diverses, elle y stocke l’énergie qu’elle n’a pas encore dévorée tout comme elle stocke de l'énergie dans les roses rouges de ses cheveux. Au niveau des jambes, Elle a soit une queue de poisson, soit des jambes. Lorsque ce sont ses jambes, elle est habillée d'une jupe longue et ouverte complètement sur le devant, laissant entrevoir un mini short, une sorte de culotte rouge. Elle ne porte bien entendu pas de chaussures. Et pour terminer l’ensemble, on observe dans son dos, une sorte de paire d’ailes en corail mauve et une autre en écume blanche. Ces deux paires d’ailes sont des sceaux, qui empêchent Miyu d’utiliser toute sa puissance.

• Description mentale

Vous expliquer le caractère de Miyu est à la fois compliqué et très simple en même temps. On peut dire qu'elle joue un double jeu. Quand elle est sous forme scellée, elle joue un rôle, elle donne une image d'elle-même complètement différente de ce qu'elle est en réalité.

Miyu nous fait croire qu'elle est : gentille, serviable, généreuse, calme, patiente, à l'écoute, altruiste, modeste et maladroite.

Miyu est en réalité tout le contraire, elle est : méprisante, ne pense qu'à elle, égoïste, très impulsive, se sert des autres et s'en fout un peu après, narcissique, très sûre d'elle même et extrêmement habile.

Deux caractères bien opposés. Mais cela fait très cliché. Miyu n'est pas que comme elle est décrite pour chaque apparence. On peut dire que Miyu est un mix des deux, se rapprochant tout de même plus de la Miyu Aquatique Sirène.
Si vous tenez tant à découvrir le caractère de Miyu, venez donc la voir et vous saurez...

• Histoire

Dans les plus profonds abymes des océans, là où il fait toujours noir, là où la lumière n’arrive pas, on se bute à un obstacle. Comme une sorte de mlur invisible. Toute créature qui tenterait de le traverser, n’y arriverait pas. Il est donc impossible pour quelqu’un qui n’est jamais passé de l’autre côté de dire ce qu’il s’y passe ou ce qu’il y a.

Moi, je peux vous le dire.

Je me nomme Miyu Sakyubasu Hinekureta, je suis une succube aquatique, ce qu’on appelle plus communément une sirène.

Je suis née il y a bien longtemps à Oscalia, la capitale des « Sept Océans ». Mon père était et est encore Général des troupes armées des « Sept Océans » et ma mère est la chef du Département Scientifique et Magique Océanique, le DSMO. Ils étaient tout deux bien placé dans la société. Et bien qu’il soit un homme, mon père était respecté, moins que ma mère cependant. Il faut savoir que ce sont les femmes qui dominent. Ce sont elles les succubes qui récoltent l’énergie. Il existe quelque mâles, mais vraiment peu.

Enfin passons, savoir comment est régie la société aquatique n’est pas le plus important.

Lorsque je suis née, j’avais déjà un avantage, aussi étonnant que cela puisse paraître, une sirène aux cheveux et yeux bleus est très rare ; mais ce sont les plus talentueuses en terme de chant, de combat, de séduction, de sport, tous les sports.

Jusqu’à mes 10 ans succubiens, donc 16 ans humains, j’ai reçu une éducation digne de mon rang, j’ai perfectionné mes techniques de chant, de combat (escrime, corps à corps, etc.) A côté de cela, j’ai toujours été passionnée par le travail de ma mère, c’est ainsi que les sciences sont devenues une de mes passions. J’ai d’ailleurs forgé mon épée grâce à la science et à la magie. « Eien no Kori » a été forgée avec de la neige, de la glace ainsi que du titane et du diamant. Parmi les éléments les plus purs qui soient.

Tout cet entraînement afin de me rendre sur Terre pour récolter de l’énergie. Jusque ses 10 ans, une sirène a sa propre réserve d’énergie, mais après, elle se doit de puiser son énergie ailleurs, et comme toutes les succubes, c’est par les relations physiques qu’elle y parvient.

Passant par les tunnels inter-monde qui existent dans l’eau, je suis enfin allée sur Terre. Là, j’ai trouvé ma première « victime » en très peu de temps et elles se sont enchaînées, si bien que lorsque je suis revenue à Oscalia, j’avais stocké énormément d’énergie dans mon pendentif. Grâce à cela, j’ai pu invoquer et matérialiser mon petit serpent des mers, Hebumi. Etant comme une partie de moi, il est et restera mon meilleur ami, mon compagnon de route, il ne me quitte jamais ou du moins, il n’est jamais bien loin.

C’est ainsi que commença ma vie de succube à proprement parler. J’adorais le sexe, et je l’aime encore, cela aurait été un comble si je ne l’aimais pas, pour une succube, ne pas aimer le sexe serait très problématique.

Je continuai ma vie tranquillement, j’avais obtenu mon diplôme de professeur et de docteur en sciences, toutes sciences confondues. J’ai également obtenu le titre de Kijo-i. Eh oui, peu après la « naissance » d’Hebumi, ce dernier m’offrit un fouet. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi il m’avait offert cela, mais bon, il m’a bien servi et me sert encore bien. Je suis devenue une professionnelle dans le maniement du fouet et du lasso. Peu de personnes osaient me provoquer en duel, que ce soit au corps à corps, à l’épée ou tout simplement en combat. Et ça me convenait parfaitement d’être crainte de la sorte.

Mais bon, rester à Oscalia commença à me peser. De plus, j’adorais aller sur Terre, les proies n’étaient pas en voie de disparition comme ici. Sur Terre, on en croisait à chaque coin de rue. C’était plaisant. De plus, j’avais fait la rencontre d’une démone de passage sur Terre, elle s’appelait Yuri, et je dois dire qu’on s’entendait bien sur pas mal de sujets.

Ma décision ne fut pas longue à prendre. Lors de ma dernière « chasse » sur Terre, j’avais entendu parler d’un pensionnat qui accueillait toutes les espèces qui existaient sans faire de différence et ce même pensionnat était à la recherche de personnel.

Je décidai de postuler en tant que professeur de Sciences et d’Education Physique. Evidemment, les directeurs étaient au courant de ma nature. Ils m’avaient chaudement recommandé de ne pas « chasser » dans l’enceinte du pensionnat. Qu’à cela ne tienne, mais si une proie me plaît, contrat ou pas, elle y passera.

Les choses étant réglées, je pus enfin partir pour le pensionnat, peut-être y reverrai-je cette démone sadique ?

Miyu Sakyubasu Hinekureta, débarque sur Terre, attention à vos fesses mes mignons