Nom & prénom :Lucas david
Sexe & sexualité: Hétero
Âge : 23 ans
Pouvoirs : Ce transformé en loup.
Armes : Aucune

Je suis un mi-homme mi-loup. Je suis un monstre qui s'insinue en toi.
Je suis grand je suis un monstre. Mes vetement ne sont que des ombres. Mon cou est béni par une croix qui me protege chaque jours. Mes cheveux sont tout aussi sonbres que ceux si meme encore plus, chaques jours que dieu fait je me couvre d'un bonnet pour cacher ma nature. Mon visage est beau et fin je le sait, les frere me l'ont dit. Ils m'ont dit aussi la beauté et la pureté qu'on mes yeux, ils sont une lumière pour ceux qui sont perdu, mes yeux brille de mille feu dans l'ombre de ses vies. D'un bleu hors du commum et surtout limpides.
Je suis un magestueux loup sombre au pelage d'abysse et au griffes acceré et au regard intelligent. Je suis un loup dangereux avide de sang.

Je suis un monstre, une erreur de la nature, je ne suis pas né ainsi je le sais au fond de mon coeur et pourtant je suis devenu monstre. Je ne suis pas méchant je suis aimable et gentil, la patience et le don qu'on ma donné pour écouter les priere de ceux qui vienne me voir. Je suis intelligent et je sais donné les reponses. Je suis quelqu'un de calme et qui n'a pas vecu son enfance comme il le faut, je ne sais pas jouer comme un gamin, je suis devenu adulte avant l'age, on ma voler cette enfance.

Promenons nous dans les bois …
Boom, boom, boom…
Pendant que le loup n’y est pas …
Boom, boom, boom…
Si le loup y’était il nous mangerai …
Boom, boom, … CRAK

Tout le monde connaît cette comptine enfantine. On nous la raconte avant même de savoir parler. Elle nous perce, elle nous voit grandir et puis finalement on l’oubli pour la plupart. Mais pas pour tout le monde. Au fin fond de la Foret EST de Meqouwin se trouve un petit village oublié de tous ou les habitants y vivent en harmonie avec la nature. Pour eux cette comptine est une vérité qui dure toute leur vie. Car cette forêt est habitée d’un loup féroce et assoiffé de sang. Chaque villageois sait très bien que sortir du village est quelque chose de dangereux. Tous le monde connaît cette comptine enfantine et pourtant…


Le silence régné en maître autour de l’homme aux cheveux sombre. Son sourire chaleureux avait disparut de son visage pour laissait place a l’incertitude et a la crainte. Son fils, son bébé venait de disparaître de sa vue. Il regarda autour de lui mais ne le voyait nul par. La peur s’immiscé en lui, et le soleil était déjà bien bas. Richard Daniel se mit à courir dans le bois a la recherche de sa perle de vie. Sa femme était morte en couche le laissant seul avec le petit nourrisson aux yeux trop grands et trop réfléchit. Richard avait pleuré sa femme longtemps mais avait vite reprit pied pour son fils. Il lui avait très vite appris la comptine qui devait lui sauver la vie.


Le père se précipita sur sont fils pour le prendre dans ses bras et le serrait de toutes ses forces. Il caressa ses cheveux, renifla son odeur, toucha sa peau lisse, observa ses yeux innocents d’enfant, embrassa son front et vérifia si tout aller, et l’enfant lui sourit.


L’enfant pointa du doigt un le dos de son père, celui-ci se tourna pour apercevoir une jeune femme au cheveux de feu et au yeux couleur soleil leur sourire. Il sut immédiatement qui elle était et se mit devant Lucas. Il avait très peur maintenant.


Mais il était trop tard, la femme avait disparut pour laisser place à une louve gigantesque. Richard savait que tout était fini, il ne put retenir une larme de tristesse coulait le long de sa joue et un sourire fleurir sur ses lèvres. Par pitiez, pensé t-il, sauvez mon enfant. Lui allait retrouvé sa femme disparut. Il senti Lucas partir en courant au moment ou la louve se mit a charger sur lui. L’homme n’hurla pas, il subit son sort en silence priant pour son fils.

Promenons nous dans les bois,
Pendant que le loup n’y est pas
Si le loup y’était il nous mangerai…

L’enfant avait beau courir il était bien trop petit pour gagné ce combat. La louve le rattrapa alors qu’elle était encore couverte de sang de son père, elle le dévisagea longtemps avant de le griffer au torse. L’enfant pleurer a chaude larmes, et la louve n’arrivé pas a le tuer.


L’enfant en pleur se força a montrer trois doigt de ça main et lui disant « omme a », ce geste eut le don d’attendrir la louve qui se mit a lécher sa blessure.

Promenons nous dans les bois…
Pendant que le chasseur n’y est pas…
Si le chasseur y’était il nous tuerai…

L’enfant jouait paisiblement dans les bois sous le regard bienveillant d’une femme aux cheveux de feu et au regard doux pour son petit. Les yeux bleus pétillant de vie rencontrèrent ceux lumineux de son vis-à-vis et les sourires naissairent. L’enfant prit une fleur et courut l’apporter à la belle rousse.


Lucas lui offrit un immense sourire plein d’amour avant de partir vers la petite cabane qui les abriter. Elle n’était pas bien grande et ne contenait qu’une seule et unique pièce. La première fois que Lucas vit cette salle il en fut totalement pétrifié. L’endroit était sombre et plein de plante et de reste d’animaux contenu dans des bocaux. Il se souvenait encore avoir longtemps pleurer la mort de son papa adoré, et encore, souvent quand il était seul, les larmes roulaient sur ses jeunes joues d’enfant. Certes il avait gagné une mère formidable, mais ce qui le rendait surtout triste était que peu a peu son père disparaissait de ses souvenir, il avait désormais beaucoup de mal a se souvenir exactement de son visage, son odeur, ce qu’ils faisaient ensemble, la sensation d’être dans ses bras d’homme. Plus il grandissait, plus son père s’éloigné de lui et ça c’était vraiment une sensation déchirante. Il s’endormit sur le seul lit de la pièce attendant le retour de sa mère adoré.

Promenons nous dans les bois…
Pendant que le chasseur n’y est pas…
Si le chasseur y’était il nous tuerai…

Les larmes coulaient de nouveau se mêlant au sang sur son visage trop jeune. Ses jambes lui faisaient mal désormais et ses pieds étaient en sang. Il devait fuir loin de tout ça, il devait vivre, vivre pour cet homme au visage souriant qui lui rendait visite dans ses rêve et dont il ignoré l’identité, vivre pour sa belle et douce maman au cheveux de feu, pour sa magnifique maman loup qui l’avait protéger, il devait vivre pour lui ! Il devait fuir ce chasseur, depuis toujours sa mère lui chanter cette comptine, et lui n’avait pas fait attention. Sa gorge lui brûlait des sanglots retenus, sa vue était trouble des larmes versées, son cœur brisé de cette perte. Et il courait pour vivre, le chasseur derrière lui.

Il trébucha, et il ne put s’empêché de pleurer, de tristesse et de peur. Il ne voulait pas mourir. Il hurla aussi fort qu’il put, un hurlement d’enfant en détresse, un grognement de loup en danger, un simple appel a l’aide. Il était certain de mourir et pourtant…

Le chasseur pointa l’arme sur ce visage couvert de larmes et de sang mais ne tira jamais. Ils n’étaient plus seuls, d’autres les observé. Des êtres au visage encapuchonné et aux voix grave de colère. L’homme trembla sous leur jugement silencieux tandis que l’enfant courut derrière l’un deux se coulant a lui. Il voulait vivre. Il n’avait que cinq ans après tout…


Les prêtres c’étaient vite habituer à ce petit garçon au regard couleur cieux dans leur abbaye. Par moment ce même garçon devenait loup mais très vite était grondé pour cet ‘tort’ et il redevenait homme. Il s’attacha au prête mais ne les vit jamais comme de nouveaux parents, simplement comme une grande famille. Elevait seul, il devint très vite l’un des leur. Silencieux et sage, préfèrant ecouter et observer que de parler et agir sans réfléchir. Ne connaissant rien d’autre, il devint prêtre à son tour et trouva une place dans un établissement tout droit sortie de nulle part.

Prénom :lucas
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