Comme a mon habitude, je marchais dans la forêt car je m'y sentais bien. J'étais vêtus d'un simple jean bleue très classe et d'un chemisier blanc à manche long. Je portais une veste noir ni trop longue mais ni trop courte aussi. Le temps était extrément froid dehors et il allais pas tarder a nager, alors il fallais que je fasse vite pour arriver a ma destination.
Personne ne pouvais venir me déranger et c'est ce que j'aimais le plus. Etre avec personne tel un solitaire comme je suis. J'avais dans ma main le mon violon qui était dans son protège. Je ne m'en séparais jamais. C'était un cadeau fait par mes parents auquel je tiens énormément même si je reste indifférent avec eux aussi ou peut être moins. Plusieurs personne avait essayer de me parler mais moi je ne leur répondais jamais. Ou si je leur répondais c'était sur un ton froid et sec ce qui faisait qu'il me fuyait juste après. Seule ma soeur arrivait a me supporter après tout je la protéger de loin ou même de près. Mon frère je ne l'ai pas vu depuis un long moment sûrement avec des filles déjà a notre âge. Et Zero. Pff je ne le supportais pas du tout.
Je voyais souvent mère mais père très rarement voir même jamais. Je me sentais délaisser par celui-ci. Certe je me considère comme un adulte mais je l'avoue je ne suis qu'un enfant encore. Je venais de m'arrêter au pied d'un arbre et je déposais au sol le violon. Je le sortais de sa protection et la placés comme il se le doit. Je me mettais à jouer un morceau doux et calme, en ne pensant à plus rien.
Mais soudain je sens la présence d'une personne et je m'arrêtais pour pouvoir regarder d'ou cela venais, je disais à voix haute :

- J'ai sûrement du rêver.

Je me remettais donc a jouer du violon tout en restant sur mes gardes.

Mika regarda l'heure, dix huit heures... Il etait tard encore une fois il etait dans son bureau, seul a travaillé, s'il faisait tout ça c'etait pour sa reine, celle qui avait capturé son coeur il y a si longtemps de ça deja. Plus il travaillé moins elle en avait et c'est ce qu'il faillait car Kaorii devait etre entouré de tout l'amour possible, et cette amour elle le recevé de lui chaque soir entre ses bras, alors que leur amour s'exprimé mais aussi par leurs enfant, leur trois petit diable et cette ange de Zero. Mika posa ses lunette sur son bureau, un dossier encore ouvert et s'alluma une cigarette, depuis maintenant un long moment il fumé. Il prit une photo sur le bureau, elle representé les trois enfant encore bébe, si adorable et innocent, mika s'amusé beaucoup de voir qu'il etait tous de race differente. Son regard se porta machinalement sur Hewai, le plus solitaire des trois. Il frissonna en voyant la ressemblance entre eux. Si seulement Hewai lui ressemblait que physiquement, mais non, son fils etait aussi solitaire que lui a son age, et pourtant leurs histoire etait si differente. Mais Hewai etait le petit dernier, et il etait froid, et pour cette ressemblance Mickael c'etait eloigné de cet ange pour le proteger, mais Kaorii lui avait apprit qu'il etait trop seul.
Decidé il prit sa veste et sortit de son bureau dans l'intention de prendre l'air et d'oublié toute sa culpabilité. Il faisait bon dehors, Mika ne sentait plus le froid depuis longtemps, il etait mort il y a tant d'années, mort de solitude, mort avant meme d'etre née. Il traversa le parc pour entré dans la forêt vide a cette heure ci, l'endroit idéal pour etre seul. Il marcha seul et sans soucis jusqu'à l'entendre...
Cette musique il la connaissait, et ce son jamais il ne l'oublirai... Un air melancolique dansait entre les arbres, un air si doux et si calme que Mika devina qui pouvait en jouer. Il avança dans la forêt pour tombé sur la plus belle des vision possible, la devant lui, se tenait Hewai, droit et fiere, le violon a la main, les yeux fermé et l'esprit ailleur. Il etait beau, plus que beau a se moment la. Lorsque le son s'arrêta muait ppar un instinct quelconque il se cacha. Il attendit que la musique reprenne pour l'observé de nouveau, Puis prenant son courage a deux main, il s'avança un sourit affectueux, enfin il le voulais, sut le visage,

- C'est magifique mon fils ...

Comme souvent je me perdais vaguement dans mes pensées. Je me demandais quand je pourrais être un adulte pour ne plus être traité d'enfant comme on me le disais souvent. Certes je me prend pour un adulte mais la raison est le fait que je suis plutôt intelligent. Je sais faire la différence entre ce qui est bien ou ce qui est mal. Je venais d'arrêter de jouer du violon et je me décidais a ouvrir doucement les yeux. Je savais très bien que je n'avais pas rêver. Je l'avais entendus s'approcher puis se cacher juste avant que je ne reprenne une autre musique et cette fois-ci. Je le vis, juste devant moi et il venais de me dire avec un sourire au lèvre et ceux comme si de rien était :

- C'est magnifique mon fils ...

Il me dit cela sans même un bonjour, aurait-il des regrets pour ce qu'il m'a fait ? Je le regardais de mon regard impassible, celui que je portais en permanence, jamais personne avait réussis a le briser, rare sont les fois ou je souris devant une personnes même devant ma famille que je chéris temps. Mais lui, il avait oser s'éloigner de moi mais pas de ma soeur, ni de mon frère. Je lui en voulais, si je suis devenus comme cela c'est sûrement par sa faute. Mère me dit souvent que je lui ressemble beaucoup. Mais d'où ? Juste parce que je suis un solitaire qui parle peu voir même pas du tout et qui préfère s'enfermer dans la musique avec son violon ou dans les livres pour être tranquille. Non je ne suis pas comme lui. Je lui en veux mais je l'aime aussi. Je ne disais rien et me décidais de ranger mon violon dans son protège dans un lourd silence qui c'était installer entre lui et moi. Ma soeur serait sûrement aller le voir directement dans son bureau et parler normalement tandis que mon frère. Lui je ne sais trop rien, je le cerne facilement mais j'en ai rien a faire même si dans le fond je dois bien l'aimer. Je m'étais agenouiller puis une fois avoir fini ce que je fesais, je me tournais vers lui et je recommençais a le regarde.

Mika l’observa sans un mot. Que dire a quelqu’un de si semblable ? Comme s’exprimé quand on ne savait meme pas comment se définir. Et se regard froit qu’avait son fils pour lui, et ses levres scellé a jamais. Pourquoi en étaient ils la ? Comment en étaient ils arrivé ici ? Il avait eut tellement peur, il avait tellement aimé ses yeux bleu a leur première vison qu’il c’était sentit inexorablement coupable en apercevant ce vide. « Kaorii me la souvent dit, elle me le reproche souvent d’être absent. Mais comment être un bon parent quand on sais que je suis la cause de la mort des mien ? Je ne veux que le bonheur de mes enfants, et pour le bonheur d’Hewai il fallait le couvrir d’un amour maternelle… »

Mika l’observa longuement, comme son fils avait grandit depuis la dernière fois qu’il l’avait vue, de quand cela daté d’il déjà ? De jours ? De mois ? Il ne le savait même plus, bien sur il les observé souvent de loin, Yume était la plus jovial celle qui venait le voir le plus souvent, mais les garçon c’était autre chose. Mika doutait, et si Hewai ne l’aimait pas ? Et si cette absence avait creusé un écart que rien ne pourrait boucher ?

Bleu contre bleu, un visage impassible contre un visage inexpressif, voilà dans qu’elle combat c’était lancé le père et le fils. L’un comme l’autre se regardé mais aucun d’eux ne pouvait parler, que dire a un total inconnu ? Soupirant de fatalité, Mikaël s’alluma une clope et la porta a ses lèvres, il réajusta ses lunette et son manteau et ferma les seconde une dizaine de seconde. Il devait réfléchir en paix et sans rien, il lui fallait juste une seconde. Il repensa a tout ce qu’il avait vécu, et surtout comment il était devenu père, et a cette sensation quand il les a vu. Confiant et toujours sans expression il le fixe.

-Nous devons parlé toi et moi…

Il s’approcha de son fils et s’assit contre le tronc d’arbre. Il devait bien choisir ses mots et il n’y avait qu’un seul moyen pour ça.

- Je m’appelle Mikaël juste Mikaël, ne t’ai tu jamais posé la question de pourquoi porte tu le nom de ta mère ? Je ne sais comment m’y prendre avec toi, je ne vais pas te le caché tu me fait peur, atrocement peur mon fils… A peine suis-je née que j’était seul au monde, j’ai grandi dans se monde, jamais je ne suis sortit de cette école… Que te dire d’autre ? Lorsque tu es nais tu a été la plus belle chose que je n’ai jamais vue. Mais j’ai peur, peur avec toi, Yume ressemble a ta mère tu sais, un rayon de soleil, et puis Tanoshii lui c’est le petit rebelle, avec eux je sais comment m’y prendre mais toi, c’est si compliqué, tu me ressemble tellement, si tu savais combien je m’en veux. Lorsque tu es nais je me suis promit de t’offrir un bonheur éternel, mais quand tu a posé tes yeux sur moi il était tant semblable au miens que j’ai tressaillit, que faire quand l’être que vous tenait dans vos bras vous renvois votre image ? Ta mère m’en veux tu sais, elle comprend ma père mais m’en veux car du coup je m’éloigne de vous…


Mika porta de nouveau sa clope a ses lèvres, que dire de plus, il venait de dire a son fils qu’il le terrorisé. Maintenant c’était a son fils de joué de comprendre les mots, de comprendre et surtout de voir son père pour la première fois.

Je le regardais de mes yeux devenus d'un violet profond et de mes cheveux qui devenais violet très foncer qui par moment était clair. Ce qu'il n'avait pas fait attention était que j'avais un bandage à l'oeil. Oui je mettais blesser lors d'un entrainement. Sa arrive a tout le monde mais moi c'était ma première fois. Je n'avais plus d'oeil droit. J'avais un regard impassible j'analysais tout ce qu'il venais de me dire.

- Je m’appelle Mikaël juste Mikaël, ne t’ai tu jamais posé la question de pourquoi porte tu le nom de ta mère ? Je ne sais comment m’y prendre avec toi, je ne vais pas te le caché tu me fait peur, atrocement peur mon fils… A peine suis-je née que j’était seul au monde, j’ai grandi dans se monde, jamais je ne suis sortit de cette école… Que te dire d’autre ? Lorsque tu es nais tu a été la plus belle chose que je n’ai jamais vue. Mais j’ai peur, peur avec toi, Yume ressemble a ta mère tu sais, un rayon de soleil, et puis Tanoshii lui c’est le petit rebelle, avec eux je sais comment m’y prendre mais toi, c’est si compliqué, tu me ressemble tellement, si tu savais combien je m’en veux. Lorsque tu es nais je me suis promit de t’offrir un bonheur éternel, mais quand tu a posé tes yeux sur moi il était tant semblable au miens que j’ai tressaillit, que faire quand l’être que vous tenait dans vos bras vous renvois votre image ? Ta mère m’en veux tu sais, elle comprend ma père mais m’en veux car du coup je m’éloigne de vous…

Il a peur de moi ? Tout cela parce que je suis comme lui. Un esprit solitaire qui se fiche du monde et qui ne dit jamais rien. Mais si je suis devenus comme cela c'est parce que justement il me manquais l'amour de mon père. Cela m'avais un vide. Mais moi cette blessure profonde ne pourrais jamais se cicatriser. Elle restera profonde même si je pouvais réussir a le pardonner. Je me décidais de lui dire :

- Pour moi, tu n'es pas mon père. Si je suis devenus comme cela c'est parce que tu étais absent et loin de nous. Certes Yume viens te voir de temps en temps comme elle ressemble à mère. Et Tanoshi n'est qu'un rebelle qui drague des filles en les faisant souffrir juste après. Mais cela c'est surement du a ton absence qu'il est comme sa. Et puis franchement je ne suis pas du tout désoler de te rappeler que tu étais ou plutôt que je suis comme toi. Mère me dit souvent que je te ressemble. Mais maintenant je n'ai plus besoin de ta présence . Je suis comme je suis et je le resterais pratiquement toujours.

Je te regardais fumé, je trouver cela dégoutant, je n'aimais pas sentir, ni voir une personne fumé mais je m'asbtenais de tout commentaire et le regardais la tête haute et fière même si on ne le remarquais pas vu son regard froid et impassible.

Comme ça il ne le voyait pas comme un pere ? Ses paroles aurai du lui faire mal, le faire souffrir, il aurai du ressentir quelque chose d'autre mais non, il ne ressentait rien a par un amusement grandissant, Son fils le haissait et lui s'en foutait completement, Il regarda la fumé s'envolé vers le ciel, il etait bien la, il aimait ce sentiment, il adoré cette amusement. Il ferma les yeux un moment juste le temps de savouré se plaisir.

-Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?Tu n'as pas de père ? Tu n'as pas de père ?

Mika eclata de rire, il riait a gorge deployé. Ton son etre vribrer de bonheur et de joie, son coté demon en tremblé d'excitation, il allait tuer son propre fils, c'etait une idée en or. Il se releva et regarda son fils, un regard lubrique et un sourire sadique. Il l'attrapa par la gorge, et caressant son cou de ses levre et approcha sa bouche près de son oreille.

-Sache mon fils que tu te trompe sur toute la ligne. Crois tu que Koarii, ma reine ma deess ai vraiment le temps d'etre avec vous et d'etre en plus directrice de cette ecole de fou !? Crois tu mon fils, dis moi, que t'a mere peu tout faire seule ? Crois tu reellement mon fils que je ne suis pas ton pere ? Car je vais te le dire en face mon fils, j'ai choisi pour vous, je vous ai offert a vous, enfant, une mere aimant alors que moi je me tus a travaille, sais tu mon fils? Dis moi sais tu combien de personne on souffert dans mes main ? Sais tu combien de demon j'ai deytruit ? Combien ma colere peu faire peur ? Sais tu Hewai que tu sera bientôt comme moi, un simple esclave, juste bon a servir a quelqu'un.

Il le lacha et le regarda avec son immense sourire

Lorsque tu l'attrape par le cou et lui caresse le cou avec tes lèvres, une grande peur montais en moi. C'était la première fois que je ressentais une tel peur. Je tremblais de partout mon père venait d'approcher ces lèvre près de mon oreille en me disant :

-Sache mon fils que tu te trompe sur toute la ligne. Crois tu que
Koarii, ma reine ma deess ai vraiment le temps d'etre avec vous et
d'etre en plus directrice de cette ecole de fou !? Crois tu mon fils,
dis moi, que t'a mere peu tout faire seule ? Crois tu reellement mon
fils que je ne suis pas ton pere ? Car je vais te le dire en face mon
fils, j'ai choisi pour vous, je vous ai offert a vous, enfant, une mere
aimant alors que moi je me tus a travaille, sais tu mon fils? Dis moi
sais tu combien de personne on souffert dans mes main ? Sais tu combien
de demon j'ai deytruit ? Combien ma colere peu faire peur ? Sais tu
Hewai que tu sera bientôt comme moi, un simple esclave, juste bon a
servir a quelqu'un.

Lorsque tu me lâcha, je m'écroulais au sol, j'étais sur mes genoux. Je tremblait vraiment, les larmes affluait et couler doucement sur mes joue. Je ne pouvais rien dire du tout. J'avais la tête vers le sol et mes bras qui m'entourais. Je ne savais plus quoi faire du tout. Mon père était vraiment effrayant. Sa allais me faire de l'effet a coup sur. Moi qui était froid j'allais surement moin l'être et aussi être respectuer et plus sympathique.

Mika observa longuement son fils en silence, son sourire ne l'aillant pas quitter. Son si beau visage etait noyer sous les larme et son corps etait secouer de violant tremblement. Il etait terrorisé par lui, et Mika en etait fiere, un petit rire sournoit s'echappa de ses levres. Qu'il etait bon d'agir ainsi, qu'il etait bon de sentir l'odeur de la peur et de la terreur. Il se lecha les levres de plaisir avant de s'accroupir devant son fils toujours souriant.

- Chut allons mon tout petit ne pleur plus, papa est la non, je sais que tu es très triste et que papa te fait très peur mais tu sais papa ne te tuera pas il te le promet et tu sais pourquoi mon fils ? Car si tu ne veux pas de pere et bien c'est ton choix, et si il ne tenais qu'a moi je t'aurai torturé et tuer d'une maniere très lente a l'heure qu'il est, fils ou pas fils car pour toi je ne suis rien. Mais vois tu mon doux enfant, la femme que j'aime t'aime plus que tout, tu es le fruit de notre amour, alors je ne te ferai rien mais sache juste une chose, si un jour tu ose me redire de pareil horreur...


Il s'approcha de son fils et le pris dans ses bras d'un air très paternel, le calinant avec son, il le berça et lui chantona une berceuse qu'il chantait quand les enfant ete petit, puis il s'arreta et vint lui susurrait au creux de l'oreille:

- si un jour tu ose redire de tels horreur a un membre de la femille mon fils je te jure que meme l'enfer ressemblera au paradis comparrait a tout se que je te ferai dans le bureau et alors la tu comprendra pourquoi on me redoute mon chere enfant.

Il l'embrassa sur le front et continua de le caliné en chantant, lui sechant ainsi ses larmes.

- Sache que je t'aime plus que tout mon fils, mais dis toi que je serai surrement celui qui vous tuerai tous...

Tu étais en train de sourire, tandis que moi je pleurais a chaud larme de mon oeil valide, tel un enfant. Ce dont je suis vraiment. Je tremblais en permanence, ne pouvant même plus bouger d'un pouce. Je ne te regardais même pas, j'avais eu sérieusement très peur. Soudain tu me dis avec le sourire au lèvre :

- Chut allons mon tout petit ne pleur plus, papa est la non, je sais que tu es très triste et que papa te fait très peur mais tu sais papa ne te tuera pas il te le promet et tu sais pourquoi mon fils ? Car si tu ne veux pas de pere et bien c'est ton choix, et si il ne tenais qu'a moi je t'aurai torturé et tuer d'une maniere très lente a l'heure qu'il est, fils ou pas fils car pour toi je ne suis rien. Mais vois tu mon doux enfant, la femme que j'aime t'aime plus que tout, tu es le fruit de notre amour, alors je ne te ferai rien mais sache juste une chose, si un jour tu ose me redire de pareil horreur...

Tu t'approchais de moi, pour venir me prendre dans tes grand bras paternel. Tu me chantonnais une berceuse. Je la reconnaissais, la dernière fois ou je l'avais entendus remontais a vraiment très loin. Tu repris :

- si un jour tu ose redire de tels horreur a un membre de la femille mon fils je te jure que meme l'enfer ressemblera au paradis comparrait a tout se que je te ferai dans le bureau et alors la tu comprendra pourquoi on me redoute mon chere enfant.

Je suis un monstre comme mon père avant qu'il ne tombe amoureux de notre mère. Je me sens horrible et idiot d'avoir penser que j'étais un adulte. Je n'avais jamais ressentit tout cela avant. Il avait fallut que je le revois pour que cela arrive. Je me jurais de ne jamais rien dire a partir de maintenant surtout face à lui et même aux autre. Allais-je changer ? Peut-être. Je suis trop sous le choc. Tu venais de m'embrassais sur le front tout en me faisant un câlin. Il me disais qu'il m'aimait mais aussi qu'il serait le premier a pouvoir nous tuer. Nous ces propres enfant. Il essayer de sécher mes larmes. Mais sa coulait en permanence, je tremblais sérieusement même avec lui. Je ne disais rien du tout.

Mika avait son fils dans ses bras et celui ci ne disait plus rien, il avait perdu tout son aplom et tout son franc parler. Il etait ennuyeux maintenant, mais meme si Mika etait un monstre a ses heures perdu il resté un pere aimant, et Hewai etait toujours son favori, celui qui etait comme lui, il restait son fils aimé et cheri, alors mika se remit a chanter la berceuse, et lentement il s'assit avec cet enfant egaré sur le sol.

- Chute, chute allons mon Hewai adoré, mon enfant, ma perle de vie, mon reflet de mirroir, ne pleur plus, cesse toute cette tristesse, je suis la avec toi mon ange, ne pleur plus, je ne te ferai absolument rien, tu es mon trésor le plus precieux. Ne pleur plus mon petit garçon je veille sur toi. Je ne veux plus voir ton visage si fermé et si triste j'aime voir ton sourire, celui que tu aborde quand tu nage seul pour ton plaisir ou quand tu joue du violon, j'aime ton sourire innocent que tu a quand le sommeil t'emporte, et j'aime le sourire que tu fait a ta mere. Crois tu vraiment que je suis absent ? Meme si tu ne me vois pas je suis present, meme si je ne peu resté je suis la toujours a te regardé, dans l'ombre car je ne suis qu'une ombre,
Sa vois etait devenu douceur, ses geste avait une sensation aerienne. Mika etait mi-ange, et mi-demon, et par moment il se perder dans tout son sang. Il caressa lentement son fils en silence, fermant les yeux, se souvenant du jours de leur naissance. Ils etaient né dans son bureau un beau matin, il se souvenait avec amusement de sa peur et de ses tourmant mais finalement tout c'etait bien passé. Ils avaient eut deux esprit...

- Tu sais mon fils, il faut que tu apprenne a etre plus vivant, tu n'est pas mort, tu m'entend, tu es vivant, ton coeur bats, ton coeur bat mon fils, et un jours tu deviendra le roi des esprit prenant la place de ta mere, et ce jour la tu devra te montré aimant, tu devrai etre ouvert et surtout, par dessus tout tu devras savoir pardonné. Se n'est pas ta soeur qui montera sur le trone elle je la vois plus prendre en main l'ecole au coté de Tanoshi, il fera un professeur de genis si il le voulait mais surtout un demon magnifique. Toi tu ne sera pas comme eux, tu a un grand destin mon fils et un don particulier, tu es un esprit avec un coeur qui bat, t'a mere aimerait tellement en avoir encore un si tu savait combien elle t'envie se don.

Je me calmais de plus en plus en étant dans ces bras et surtout quand il me bercait. J'aimais cette berceuse plus que tout depuis tellement longtemps. Cela me calmer vraiment et je me sentit comme apaiser. Je ne tremblais plus. Je m'étais calmer pratiquement mais j'avais toujours un peu peur. Je l'écoutais me dire :

- Chute, chute allons mon Hewai adoré, mon enfant, ma perle de vie, mon reflet de mirroir, ne pleur plus, cesse toute cette tristesse, je suis la avec toi mon ange, ne pleur plus, je ne te ferai absolument rien, tu es mon trésor le plus precieux. Ne pleur plus mon petit garçon je veille sur toi. Je ne veux plus voir ton visage si fermé et si triste j'aime voir ton sourire, celui que tu aborde quand tu nage seul pour ton plaisir ou quand tu joue du violon, j'aime ton sourire innocent que tu a quand le sommeil t'emporte, et j'aime le sourire que tu fait a ta mere. Crois tu vraiment que je suis absent ? Meme si tu ne me vois pas je suis present, meme si je ne peu resté je suis la toujours a te regardé, dans l'ombre car je ne suis qu'une ombre.

Sa voix était devenus doux ce qui faisait que cela m'apaiser encore plus. Je fermais doucement les yeux en étant dans ces bras.

- Tu sais mon fils, il faut que tu apprenne a etre plus vivant, tu n'est pas mort, tu m'entend, tu es vivant, ton coeur bats, ton coeur bat mon fils, et un jours tu deviendra le roi des esprit prenant la place de ta mere, et ce jour la tu devra te montré aimant, tu devrai etre ouvert et surtout, par dessus tout tu devras savoir pardonné. Se n'est pas ta soeur qui montera sur le trone elle je la vois plus prendre en main l'ecole au coté de Tanoshi, il fera un professeur de genis si il le voulait mais surtout un demon magnifique. Toi tu ne sera pas comme eux, tu a un grand destin mon fils et un don particulier, tu es un esprit avec un coeur qui bat, t'a mere aimerait tellement en avoir encore un si tu savait combien elle t'envie se don.

Il avait repris après un léger silence ou je l'écoutais. Soudain je levais ma tête vers son visage et je lui fis un bisous sur la jour en disant :

-Je suis désoler. Je me suis mal comporter. J'aurais du réfléchir avant de parler sur le coup des sentiments. Je m'en veux sincèrement père. Je regrette mes paroles juste avant. Si vous saviez à quel point je m'en veux vraiment. Vous m'avez tellement manquer que je vous en ai voulus. Mais toute cette douceur soudaine me rappelle quand j'étais petit ainsi que cette berceuse que j'aime tant venant de vous. Je suis vraiment, vraiment désoler. Je vous aimes père.

Mes pleures reprenais doucement et je me cramponnais à mon père comme un enfant ce dont je suis encore. Je grandissais doucement mais lentement et j'apprenais mes erreurs grâce à père. Mais aussi grâce aux autres. M'ouvrir aux autres impossible pour le moment mais peut être qu'un jour quand je serais plus grand oui.

Le silence était reposant. Il se sentait bien ainsi. Le gosse ne disait rien, enfin il se taisait. Non pas qu'il n'aime pas son fils, il l'adorait plus que tout mais il en avait marre d'être toujours accusé alors que personne ne savait ce qu'il faisait. Personne ne se préoccupé de savoir s'il était blessé. Non, seule sa bien aimée l'en remercié, le reste du monde le voyait comme un monstre.

-Je suis désoler. Je me suis mal comporter. J'aurais du réfléchir avant de parler sur le coup des sentiments. Je m'en veux sincèrement père. Je regrette mes paroles juste avant. Si vous saviez à quel point je m'en veux vraiment. Vous m'avez tellement manquer que je vous en ai voulus. Mais toute cette douceur soudaine me rappelle quand j'étais petit ainsi que cette berceuse que j'aime tant venant de vous. Je suis vraiment, vraiment désoler. Je vous aimes père.

Père ? Vous ? Alors c'était ainsi que son fils le voyait certes il l'aimait, mais il avait enormément peur de lui. Jamais le gosse ne l'avait appelé papa. Non il était son père, il y avait cette barrière entre eux. Hewai mettait une telle distance entre eux que s'en était douloureux. Il ne le tutoyé même pas. Non Mickaël était un seigneur. On le respecté et on le fuyez, mais on ne l'aimé pas a sa juste valeur. Oui le gamin lui avait dit qu'il l'aimait. Mika s'imaginé au Moyen-Age, il imaginé bien cette relation comme celle d'un seigneur et de son fils.

Il le borda doucement. Ainsi Hewai paraissait plus jeune encore. Il lui rappelé quand il était enfant et qu'il pleuré a longueur de journée. Car oui, petit le gosse était un pleurnicheur. Toujours dans ses bras entrain de pleuré. Il se souvenait des triplées bébés. Hewai était la victime préféré de son frère. Qu'es ce qu'ils étaient drôle ainsi. Mika en sourit encore a se souvenir. Le nombre de fois ou il avait du consolé le petit était incalculable, sauf pour lui. Alors il laissa le gosse tranquillement, chantonnant calmement pour son fils.

Je m'accrochais beaucoup à père. Petit à petit mes larmes cesser de couler et je relâchais mon emprise sur ces vêtements que je tenais fermement dans mes mains. Pourquoi est-ce que je le vous voyais ? Parce que je faisait ça avec tout le monde. Je ne voulais être proche de personne et je restais un pur solitaire qui mets des barrière autour de sois même. Je le lâchais délicatement et reculais. J'avais peur de lui et pourtant je voulais m'en rapprocher dans les jours à venir. Le comprendre ? C'est ça qui bloquer. Seule mère le comprenait. Je me devait donc de faire de sérieux efforts. Je lâchais soudainement un sourire à mon père. Je le regardais. J'avais les yeux rouge et enflé. Je m'étais calmer, je ne tremblais plus du tout.

Père ne disait rien du tout il avait tout simplement chanter pour que je me calme. Je me levais donc et je disais :

- Père. Un jour je vous comprendrais. Et à ce moment la je vous tutoierais tout en brisant cette barrière avec tout le monde un jour.

Je le regardais sérieusement prouvant que mes paroles ne sont pas en l'air du tout. Je me devais de cesser d'être un pleurnicheur dans le fond et d'avoir vraiment peur. Parfois j'enviais la gentillesse de ma soeur et de sa sociabilité avec tout le monde mais aussi de mon frère adorée des filles et qu'il drague facilement. Je lâchais un soupir rien qu'en pensant à ça qui me dégouttait quand même légèrement.