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 Difficile d'allumer un feu [PV Zack]

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Stone Ian K.

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MessageSujet: Difficile d'allumer un feu [PV Zack]   Difficile d'allumer un feu [PV Zack] EmptyLun 29 Aoû - 19:40

Pas tord! Je n'aimais pas ce genre de questions. On a essayer de me marier de force à l'âge de dix ans. Alors je vois pas pourquoi je n'en serais pas traumatiser... Enfin passons, ma vie passé n'a rien a voir avec ce qu'il se passait a cet instant même.

Après ma révélation, il fut surpris,la bouche entre-ouverte et les joues rosés. Je n'y prêta pas intention car je savais que cela ne voulait strictement rien dire. Le corps réagissait comme cela face a choc émotionnel. Je le savais car moi-même, cela m'arrive souvent. On peut contrôler l'esprit mais pas le corps. Même si on bloque le cerveau, le corps a ces habitudes et les fait tout seul, sans s'en rendre réellement compte. puis je le vit reculer, détourner la tête et se gratter la nuque. Superbe! C'est pas un rateau que je me mangeais c'était un vrai pâté! Mais je pouvais être fier de moi, lui qui avait tellement envie de me voir réagir ainsi, j'étais bien contente que mes mots fassent leur effet.

Me suivre n'avait pas l'air de lui faire tant plaisir que cela, je fis comme ci de rien était et continuait ma marcher en montant des escaliers. Jusqu'a ce qu'il me dise de faire attention à moi. Je me stoppa net a cette réflexion et le regarda droit dans les yeux. Qu'était il entrain d'assinuer? Que je baissais ma garde? Sa, je le savais déjà... Mais j'allais vite la reprendre, il fallait juste que je remette de l'ordre dans mes idées. J'étais certes une fille, pas une fille débile! mais ces paroles allait me faire rire et pourtant, elle me donnais en même temps la nausée. Son visage qui se tourna vers moi était toujours aussi froid mais un peu plus amicale. Si c'était de la pitié, il pouvait se la fourrer là ou je le pensais. Je n'aimais pas ce sentiment, la pitié envers moi me confirmais que je n'étais rien. Rien, comme je l'avais si souvent entendue durant mon enfance. Je resta droite, plantée comme un piquet et le regardait parler. Mes yeux devinrent comme d'habitude, vide de tout sentiments et mon corps aussi glacial que les flocons de neige d'hiver.

Son froncement de sourcil je ne l'aimais pas du tout. Mais je ne dis toujours rien et l'écouta. J'attendais de savoir la suite pour savoir ce que j'allais faire ensuite. Je ne laissa aucun sentiments passer. Après qu'il es fini je le regarda de nouveau dans les yeux, avec mes yeux de zombie habituels.

-C'est une mise en garde? Merci, mais je ne pense pas en avoir besoin.

Je me retourna et continua ma marcher vers le foyer. Je poussa la première porte du première étage, situer sur la droite et pénétra a l'intérieur. Je posa mon sac sur l'un des meubles en verre. Et me dirigea vers le cheminée. Je savais que même si je mettais mes mains dans le feux, mon corps restera congeler. Je m'accroupis donc devant le feu qui était entrain de s'éteindre et mise une bûche a l'intérieur. Mes yeux perdue dans la danse des flammes, je me concentrais pour réagir intelligement.

Sans m'en rendre compte, je me mise à parler, d'une voix froide et monotone.

-Je ne sauta pas sur le premier venu! Si c'est ce que tu pense de moi, alors t'es aussi idiot que tous les autres.

Je me releva, observa la pluie par la fenêtre tout en m'attachant les cheveux en une queue de cheval. Je regardais mes vêtements qui gouttait. Je ne ressemblais pas a une humaine vêtue ainsi, seulement a un piètre fantôme. Je n'admet jamais la vérité. Et, sur un point, il avait raison. C'est que mon coeur, aussi froid peut-il être, était blesser et n'arrivait pas a cicatriser. Je ferma les yeux et repensa a cette époque maudite. Cette époque ou je n'étais rien pour mes géniteurs mais une perle rare aux yeux des autres entreprises. Pour eux j'étais la clé d'entrée. Si ils arrivaient a me mettre dans leur poche, ils avaient tout gagner. Mais même a cette époque je n'étais pas stupide. On m'avais tellement mise en garde face a ces vautours. Mais ils m'avais mise en garde contre le mauvais vautour... Le pire de tout les vautour et ce sentiment. Ce sentiment d'amour envers une personne.

je récupera mon sac et me laissa tomber sur le canapé en face de la fenêtre, le plus éloigner du feu de cheminée. Je sortis mon bloc-notes et un stylo noir. J'allais commencer a écrire mais je n'y arrivais pas. Pour la simple et bonne raison que j'avais tout bloquer. Aussi bien mon corps que mon coeur. Je n'avais donc rien a par le cerveau pour finir l'étude que j'avais commencer. Et je le faisais toujours avec mon coeur, je n'arriverais donc pas a écrire tant que je ne redeviendrais pas cella que j'étais il y a de cela dix minutes. Je regarda le garçon en coin et me remise à parler.

-il n'y a ni bon, ni mauvais dans la vie. Nous sommes tous au milieu. les démons peuvent être gentils, comme les anges méchants. Si un jour, j'ai la chance de croiser une personne purement gentil ou méchante, c'est qu'il y a quelque chose qui cloche. Tout le monde fait des choses atroces, que ce soit des meurtres ou bien tourner le dos a une personne qui cri à l'aide.

je posa ma tête sur la paume de ma main, le coude appuyer contre le remontant du canapé.

-A ton avis, qu'est ce qui es le pire? un meurtre? Pas pour moi, le pire c'est de laisser une personne crier à l'aide. De la laisser dans la solitude toute sa vie et de ne jamais avoir de remord pour cette personne ci. Tourner le dos fait bien plus mal qu'un couteau planter dans le coeur.

Je détourna mon regard de Zack et me remise a regarder la pluie avec insistance. Je savais qu'il allait me trouver froide, dépourvu de tout sentiment. Mais si je disais cela, c'est parce que j'avais eue le droit a tout sa. Je soupira, je n'aimais pas me justifier mais là, je n'avais vraiment pas le choix.

-Si je m'ouvre, c'est parce que j'aime dire les choses clairement. Les personnes malveillantes, j'en ai cotoyer pleins depuis ma naissance. Cela ne m'effraie pas. Tu pourra jouer avec mon âme, la torturer, la blesser ou même la tuer que cela ne me fera rien. *Je souris amèrement* Et si tu a pitié de moi, alors dit le moi directement et notre chemin s'arrêtera ici. Je n'aime ni la compassion, ni la pitié! ces émotions sont pour les personnes faibles et qui ne représentent rien. Ah oui! Et, je ne cherche pas a combler ce manque, je cherche juste a construire l'avenir que j'ai choisit. Si tu pense que je suis aller vers toi pour me libérer de mes chaînes tu te trompe. Quoi que les gens puissent dire, quand on a des chaînes, on les gardes toute notre vie. Certaines personnes sans le savoir, d'autres en le sachant.
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MessageSujet: Re: Difficile d'allumer un feu [PV Zack]   Difficile d'allumer un feu [PV Zack] EmptyMar 30 Aoû - 11:56

Alors que tous deux entrèrent rapidement dans l’espace détente de l’école (avant-même d’avoir été se présenter, pas terrible, songea un instant Zack), le jeune homme ne prit même pas la peine d’observer les lieux, il était bien trop préoccupé par le côté bipolaire de Shana. Celui lui montrait en revanche à quel point elle pouvait souffrir.

-« Pas besoin » ? C’est bien ce qu’il me semblait, et vu son revirement de comportement depuis son arrivée ici, cette Shana semble être lunatique, en plus d’être têtue.

Zack commençait déjà à mieux la discerner, sûre d’elle en façade, le fond n’en était que plus friable.

-C’est toujours plus simple de montrer un autre visage que le sien, plutôt que d’avouer ses propres faiblesses. Elle ne veut rien dévoiler d’elle qui puisse porter quelqu’un à s’y intéresser de trop près…

A présent, elle commençait à lui faire des reproches, l’accusant de choses qu’il n’avait pas dites. A moins qu’il se soit mal exprimé ? C’était encore possible, vu qu’il s’était perdu quelques temps dans le feu de l’action, lorsqu’ils étaient dehors.

-Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. Je t’expliquais simplement que tu ne devrais pas te rapprocher aussi vite de moi, car je ne pense pas être quelqu’un de bien. A vrai dire, je ne pense surtout pas être capable d’apporter le bonheur à quelqu’un. Tout ce que je touche se teinte de sang un jour ou l’autre, je n’ai simplement aucune envie que ça t’arrive.

Son cerveau avait déjà prit une décision ; celle de ne pas se rapprocher d’elle plus que nécessaire. C’est pour cela qu’il maintenant une distance de sécurité entre eux, et que les échangent devinrent presque froids. Seulement son cœur parlait autrement, son âme y était fermement opposée. Il le savait, il ne devait pas se lier à elle, mais le voulait au plus profond de son être.

-Maintenant libre à toi de me considérer comme un idiot ou non. A vrais dire c’est peut-être bien le cas, mais cela m’importe peu.

Il tentait de rester neutre, même s’il savait que finalement, cela avait une grande importance qu’elle le considère comme un idiot ou non. Il avait mentit pour éviter d’en dire trop. Bien décidé à éviter de rester sur cette pente des plus glissantes, il dévia légèrement le sujet ; Assez pour éviter qu’elle ne se rende compte de ses paroles, mais pas trop pour ne pas qu’elle se doute de quelque chose.

-Mais si tu es prête à te faire un jugement complet d’une personne aussi rapidement, c’est que dois au moins être aussi « intelligente » que moi.

Il espérait que Shana avait, encore une fois, compris cette pointe d’humour noire. Bien sur c’était souvent malvenu en de telles situations, mais quoi de mieux pour détendre un échange glacial ? A condition que les deux interlocuteurs soient sur la même longueur d’onde, bien évidemment. Ce qui était, dans la vie de tous les jours, rarement le cas…
Serait-elle plus réceptive ?

-Tu as tout à fait raison, seulement tu vois beaucoup le côté négatif de la personne. On fait tous des erreurs, et on en fera encore et toujours, le tout est de ne pas reproduire indéfiniment les mêmes. Si l’on blesse par une erreur que l’on fait pour la première fois, c’est excusable. Si cela se reproduit plusieurs fois, ça ne l’est plus, tout simplement. C’est là que l’on juge de la capacité à raisonner et se remettre en question d’une personne. Bien plus que l’on juge si cette personne représente le bien ou le mal. Pour quelqu’un de cher, l’on doit être capable de s’améliorer au-delà du possible…

Cette fois encore, ces paroles le ramenèrent à sa dernière famille d’accueil, à ce meurtre, à tout ce sang. Ses bras bouillonnaient.

-…Et jusqu’ici j’en ai toujours été incapable. Voila ce qui me caractérise vraiment. Pas de bien, de mal, de Lumière ou de Ténèbres. Simplement ma volonté, et ma façon d’agir.

Cette fois il était sérieux. Ses pupilles s’étaient presque fendues au fur et à mesure qu’il accentuait son regard, plongeant dans les yeux de son interlocutrice qui semblait toute ouïe à son charabia.

-Pour moi, le pire est de ne pas apprendre de ses erreurs, ou de les ignorer, pour recommencer ensuite. Quelqu’un qui ne se rend pas compte qu’il agit mal n’a pas de sensibilité, et aucune envie de changer. Ce genre de personne est dangereux.

Il songea à ceux qui avaient attaqué son village, serrant les poings jusqu’à la limite de saigner. C’était drôle quand on y pense… Ce genre de personne il en croisait tous les jours. L’être humain était ainsi fait ; incapable de réfléchir au bien, au mal, uniquement à sa propre personnes. Bien sur tous n’étaient pas comme ça, mais c’était presque le cas. C’était d’ailleurs probablement aussi son cas.

-Néanmoins, tu as raison.

Il s’arrêta un moment, commençant à s’avancer vers elle, sans la lâcher des yeux.

-L’ignorance est le pire des mépris. Surtout de la part de quelqu’un que l’on estimait, et sensé nous apprécier.

S’arrêtant juste devant elle, il accentuait son regard, lui donnant l’impression d’avoir des yeux d’un chat en train de chasser.

-Je sais que tu agis comme cela parce que tu as déjà vécu un cas similaire. Cela se devine à tes paroles, à ton regard. Pourtant je sais aussi que, bien que tu dises ne plus vouloir de cela, tu n’attends qu’une chose, c’est que cela s’arrange.

Il posa sa main sur l’épaule de Shana, lui tînt fermement, de manière à ce qu’elle comprenne ses paroles, et croie en leur véracité.

-Tu peux croire si tu veux à tout cela, peu m’importe, seulement ces chaînes que tu emmène avec toi partout où tu vas ne te suivront bientôt plus. Tu as peut-être peur de tenter d’aller, peut-être n’y crois tu plus du tout, mais je me fous de tout cela !

Quand il enleva sa main, se fut pour la remonter légèrement, effleurant tout d’abord la douche chevelure de la jeune femme, il caressa un instant sa joue, avant d’y poser finalement sa main, comme un aveu de tendresse.

-Bientôt, je t’enlèverais ces entraves qui te retiennent prisonnières.

-Pourquoi ai-je dit ça ?

Ces mots étaient sortis seuls de sa bouche. Il n’avait pas eu l’idée de les prononcer. Pas maintenant, c’était trop tôt. Bien trop tôt.

-Tu verras qu’il est possible de vivre sans. Seulement ça ne dépend que de toi. Seul je ne peux rien faire. Sans toi, personne ne peut agir. Tout ce que je peux faire actuellement, c’est croire en toi, alors montre-moi que j’ai raison de vouloir croire. Et vois-ça comme tu veux ; pitié, amitié, ou autre, ça te regarde. Ce genre de petits détails ne m’intéresse pas, l’essentiel est que tu y croies. Alors après traites-moi de faible si l’envie t’en prend, là n’est pas le problème.

Sa main gauche vînt aussi se poser sur l’autre joue de Shana. Si quelqu’un était entré dans la salle à cet instant, il les aurait probablement pris pour deux amants sur le point de s’embrasser. Peut-être cela avait-il traversé son inconscient après tout ? Mais le moment n’était pas venu.

-Tu t’enfonces, Zack…

- La décision t’appartient. Si tu veux aller mieux, il faut y croire, et croire en ce que je viens de te dire. Bien sur je suis aussi capable de te blesser, peut-être même grandement. Seulement si tu as besoin de moi, je ne te laisserais pas.

Enlevant ses deux mains, il baissa la tête, restant un bon moment sans parler, sans réagir. Ses bras tremblaient presque à présent. Son sang chauffait, le brûlait de l’intérieur. Cette douleur était supportable, mais une autre l’était bien moins…
Finalement, il se recula d’un pas, puis deux. Secouant sa tête pour se changer les idées (et arrosant optionnellement Shana par la même occasion), il se dirigea vers la porte d’entrée, posant sa main sur la poignée.

-Maintenant tu peux aussi laisser tomber cette idée, auquel cas je ne t’embêterais plus avec ces belles paroles. Si tu préfère rester seule, alors je te laisse.

Emporté par sa volonté, il continua sur sa lancée, sans même réfléchir aux éventuelles conséquences :

-Fais ton choix.

Il serra un peu plus la poignée de porte, prêt à l’ouvrir à tout instant.
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MessageSujet: Re: Difficile d'allumer un feu [PV Zack]   Difficile d'allumer un feu [PV Zack] EmptyMer 31 Aoû - 9:14

Ahhhhh le sang. Lui et moi sommes comme de bon vieux amis. Même si je lui tournait le dos ces derniers temps, l'appel était fort, surtout la nuit. J'ai toujours blesser quand mon coeur saignait, maintenant que j'ai choisis une autre vie, je suis obligée de changer. Si les sages apprenaient que je n'arrivais a gérer mes pulsions, ils voudront me jeter. A cela, je ne voulais pas! Je voulais devenir une grande sage, être reconnue dans n'importe quel monde et surtout, devenir la fille que je n'ai jamais été. A part peut-être quand j'étais enfant? Je ne pouvais savoir!

Je savais qu'il était pas idiot, du moins, pas comme les autres. Je sais remarque les bonnes choses des mauvaises. Et si je me suis mise a lui parler, c'est parce que quelque chose en lui m'attirais plus que les autres. Une chose que je n'avais pas encore trouver. C'est vrai qu'il es beau, mais des beaux garçons, y en a beaucoup ici. Ce n'était donc pas pour son physique. Peut-être son humour noir? Qui sait, je n'en savais rien moi-même alors qui le serait pour moi? Je pense bien personnes! A vrai dire, je savais que là je me rabaissais de jour en jour. Plus le temps passait et plus je me noyais dans mon propre sort.

Il avait peur de me blesser ou de me tuer? Sur quel pied devais-je danser avec ce garçon? Y a un instant, il m'a rejeter et maintenant, il pense pour mon bien... Et rebelote sur son humour noir, j'eue un sourire en coin qui ressemblait plus a un rictus qu'à un sourire. Mais je me détendais de nouveau petit a petit. Sans savoir pourquoi, je relâchais ma défense encore une fois face à Zack. Il avait raison, j'étais aussi idiote que lui. Enfin, il n'a pas l'air si idiot que je le prétendais. J'avais simplement besoin d'échapper a la raison que portait ces paroles, cela semblait trop vrai et trop dur. Je n'aimais pas qu'on me remette a ma place avec seulement des paroles (Et encore moins au combat, bien évidement!). Le bien, le mal, la lumière, les ténèbres, tout cela a été créer pour les croyants. Pour ceux qui ont besoin de se ressourcer et de suivre les règles a la lettre en espèrent avoir le pardon et la pitié du grand seigneur. Je n'aimais pas employer ces mots.

Pas pour la raison de la religion. Pour la raison que dans la lumière, je n'ai jamais été heureuse et que dans les ténèbres on m'a trahis plusieurs fois en souhaitant ma mort. Que ce soit dans les ténèbres ou la lumière d'ailleurs. Je supporta son regard qui changeait petit a petit. Ces yeux devenait encore plus froid que ceux d'avant. Je ne sais pas a quoi il pense mais cela ne lui fait pas du bien... Je baissa quelques secondes les yeux en voyant qu'il serrait les poings. Puis il s'avança vers moi, je reporta mes yeux sur son visage pour voir ces traits. Si son visage était ridés c'est que j'allais passer un mauvais quart d'heure!

Pourtant, ce n'es de la douleur physique dont je craignais... La douleur que je ne voulais plus avoir était psychologique. Et ces paroles, me transperçait le coeur comme ci une lame d'un poignard bien éguiser avec sur la pointe, l'un des poisons les plus douloureux et lent y était inscrit sur la lame froide, qui me transperçait la poitrine d'un geste brusque et vive!
Puis je sentis sa main se poser sur mon épaule et la tenir comme ci il voulait la briser. Et il aurait pu le faire si j'aurais tenter de me retirer de son étreinte. Je n'aimais pas me sentir en position de faiblesse. Et la il me prenais de haut avec sa hauteur et de force avec sa main sur mon épaule. Mais bizarrement, ce n'était pas si désagréable... Sa main qui serait mon épaule me donnais des picotement partout dans le corps et brûlait comme un fer poser sur un feu. Si je n'aurais pas remonter mon regard vers ces yeux, mon esprit serait sorti de mon corps. Mais ces yeux de chat en chasse repoussa mon idée de bien-être.

Quand mon cerveau remis dans l'ordre les paroles du jeune homme, mes yeux devinrent aussi gros qu'une bille, tout aussi rond. Sa main qui caressait mes cheveux ainsi que ma joue me donnais des frissons. Pourquoi ce changement de comportement vis a vis de moi? Ces deux mains étaient a présent sur mes joues, qui j'en suis sure, n'était plus si froide que cela à présent. Si j'avais besoin de lui il ne partirait pas? Comment devais-je le prendre? Si je me laissais tenter je n'aurais aucun mérite et pourtant, si je ne me laisse pas tenter j'en aurais des remords... Ces mains quittèrent mon visage et je retrouva mes joues fraîche, sa tête se baissa. Tout son corps se relâcha, comme ci il mourait devant moi. Sans rien dire, il recula de deux pas en me précisant que je pouvais également oublier ce qui venait de se passer et lui dire de partir si je ne voulais plus de sa présence auprès de moi. Quand il secoua la tête, je mise mes mains devant mon visage pour ne pas me prendre de l'eau plein la figure.

Après m'avoir dit "Fait ton choix", il commença a appuyer sur la poignet. Je n'étais pas paniquée car je savais que même si il partait, je pourrais toujours le rattraper. Je commença donc mon long discours.

-Je ne sais pas ce que je devrais te répondre, je n'en sais plus ou j'en suis. Tes paroles me déboussole et, c'est vrai que j'aime la solitude pour réfléchir et ne pensée a rien d'autres cas ce livre que j'écris.

Je prise une pause, soupira et le regarda en coin sans me retourner en attendent une réaction de sa part. J'allais poursuivre mais le "clic!" de la porte me fit trembler et sauter du canapé. Je me mis face a son dos et parla plus fort que je ne l'aurais voulu.

-Mais! Je ne veux pas que tu parte! Je ne veux plus de ces chaines, je veux être libre, sortir de cette cage qu'on m'a forgé. Mais je ni arriverais pas toute seule! J'ai toujours refuser de me donner entière a quelqu'un, par peur d'être blesser de nouveau ou bien d'être trahit. Mais toi qui veut que je crois en toi, crois en tes paroles et au bon coté... Je veux bien essayer avec toi... Tenter de m'offrir à toi, sans te cacher quoi que se soit mais...

Je ne savais pas ce que je disais, je n'aurais jamais parler comme ça si le poison n'aurait pas fait son effet sur moi. Je tremblais toujours, mais plus qu'il y a quelques secondes. Si je n'aurais pas garder ma bouche fermé, on aurait entendue le bruit de me dents s'entrechoquant! Je serra mes poings, incapable de m'avancer plus de lui. je du reprendre plusieurs fois ma respiration pour ne pas manquer d'oxygène. Mes yeux fixèrent son dos, j'aurais pu même dire, ils brûle son dos comme des lasers.

Une fois m'être légèrement calmer, je m'approcha de lui en tendent les bras vers son haut tout tremper, une fois l'avoir agripper dans mes mains, je laissa tomber ma tête au creux de son dos et ferma les yeux.

-Mon choix es fait! Mais sache, que ce ne sera pas facile pour toi... Je ne sais pas combien de temps je vais prendre pour être mieux et *chuchote* pour faire disparaître ce sentiment... *reprend sa voix habituelle* Je ne veux pas que tu parte!

Je sera plus fort son haut dans mes mains, comme ci, si je le lâchais ma vie allait s'effondrer.
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MessageSujet: Re: Difficile d'allumer un feu [PV Zack]   Difficile d'allumer un feu [PV Zack] EmptyJeu 1 Sep - 7:36

Aux premiers mots de Shana, Zack restait dubitatif. Arquant un sourcil, il attendait la suite qui, visiblement, n’allait pas tarder.

-Elle est évasive… Elle doute. Je devrais aussi me renseigner sur ce livre dont elle parle… Attendons un peu.

Puis il appuya quelque peu sur la poignée, sans même s’en rendre compte, l’abaissant légèrement de seconde en seconde, jusqu’à ce qu’un clic distinctif se fasse entendre. C’était le genre de bruit anodin qui pouvait plomber une ambiance, et visiblement, le résultat chez Shana fut assez surprenant. On aurait cru qu’elle allait craquer, fondre en larme et s’écrouler à tout instant. Zack détourna même les yeux ; pas par respect, pas par pudeur, mais parce que la voir ainsi le rendait mal. Il tourna les talons, afin de laisser à la jeune femme plus d’intimité.
Si tant-est qu’elle en ait réellement besoin…

L’instant d’après, la voix de Shana eut le même effet « dévastateur » que le déclic de la poignée. Elle avait visiblement avancée vu le bruit sourd qu’avait entendu Zack. Pourtant il ne voulait se retourner, doutant, inquiet pour elle. Il ne savait que faire. Les mots qu’elle disait venaient du plus profond de son cœur, balancés comme pour enfin faire ressortir une douleur trop longtemps enfouie. D’ailleurs ces mots touchèrent profondément Zack, qui se mit instinctivement à sourire. Pas de joie, mais de tristesse.
Après les mots de la jeune femme, il y eu un instant de répit. Un instant qui lui paru durer des siècles. Un instant où tout instinct stratégique avait d’ores-et-déjà foutu le camp, un instant où il se sentait lui aussi mis-à-nu face à une jeune femme qui comptait déjà énormément pour lui.

-Shana…

Sans lui laisser le temps de répondre, elle s’agrippa à lui, le serrant, posant sa tête dans son dos, comme un supplice silencieux. Puis elle parla de nouveau, cette fois plus calme, mais toujours aussi mal dans sa peau. Comment pouvait-on autant souffrir avec un aussi beau visage ?

-Elle ne mérite pas ça…

Il l’entendit marmonner un instant, et ne pu se résoudre à ignorer les mots qu’elle avait prononcés. Il le mit de côté un instant, et desserra l’emprise de la jeune femme, se retournant vers elle. Quand il vit son visage, il fut surpris, elle avait l’air si pure, son corps si frêle semblait pouvoir s’écrouler d’un instant à l’autre. Lui passant une main dans le dos, l’autre derrière les jambes, il la leva sans mal, et profita de l’effet de surprise pour la détailler longuement.

-On dirait que tu vas t’effondrer jeune fille, tu ferais mieux de t’allonger, lui dit-il, souriant.

Il croisa son regard étonné encore un long moment, avant de marcher en direction de la banquette, l’allongeant dessus. Il prit un coussin qui trainait sur le côté et lui mit sous la tête, afin de la surélever.

-Voila… Maintenant reposes-toi. Je ne pars pas… Je reste là.

De sa main il écarta les quelques mèches qui retombaient en pagaille sur le visage de la jeune femme, puis il en profita pour poser sa main sur son front. Au début pour vérifier si elle n’avait pas attrapé un coup de chaleur, puis il la laissa ici, sans même s’en rendre compte. Tandis qu’elle était allongée sur le canapé, lui était accroupit, l’observant longuement dans une salle presqu’entièrement plongée dans l’obscurité. Seule la lumière des fenêtres laissait échapper quelques raies de lumières dardant autour d’eux, bien que cela ne leur offre pas une luminosité exceptionnelle, c’était suffisant pour qu’il distingue parfaitement les traits de la jeune femme.

Les tremblements diminuaient. A présent ils avaient presque cessés. Shana se calmait peu à peu. Peut-être était-ce la présence de Zack qui lui faisait du bien. Peut-être était-ce simplement le silence environnant ? Peu importait après tout, ce qui compte était que personne ne franchisse la porte d’entrée avant un bon moment, cela casserait cette ambiance si… Spéciale.

-Est-ce que tu te sens mieux ? Lança finalement Zack, brisant presque cette aura divine.

Comme si la réponse qu’elle allait donner ne le rassurera pas quoi qu’il arrive, Zack se leva, récupéra une couverture déposée sur un fauteuil et revînt voir son amie. Dépliant la couverture, il lui dit :

-Tu dois avoir froid, tu te sentiras mieux avec ça.

Il remonte la couverture chaude jusqu’aux épaules de la jeune femme, et s’assura qu’elle fut bien couverte. Une fois ceci fait, il passa machinalement sa main dans les cheveux de Shana, dans un cycle qu’il répétait sans même s’en rendre compte.

-Bien… Pour répondre à tout ce que tu as dit…

Il marqua une pause, comme si dire ce genre de mots le tiraillait. Après un long soupire, il reprit finalement :

-…Ces chaînes sont si ancrées en toi que tu as l’impression de ne plus pouvoir vivre sans. C’est malheureux, et dans un sens, ça m’attriste… Seulement tu n’imagines pas combien cela m’a fait plaisir de t’entendre dire que tu voulais t’en débarrasser.

Un grand sourire se dessina sur son visage tandis que ses yeux ne quittaient plus ceux de Shana. C’était sans cette gêne qui l’obnubilait jusqu’ici qu’il lui parlait à cœur ouvert.
Ou presque..

-On sait tous les deux que ce n’est jamais facile de s’en sortir, mais c’est aussi pourquoi je suis là. Je ne crois pas du tout au destin – plutôt au hasard – mais je pense que je t’ai rencontrée au bon moment. Maintenant, même si tu veux parler, prends encore le temps qu’il te faut. Se presser n’a jamais rien donné de bon. Je serais patient, je te le promets.Le temps n’a pas d’importance quand on traverse un long couloir semblant sans fin. Seul le bout du tunnel compte. Et si jamais tu t’arrête au bord du chemin, je t’attendrais, je en continuerais pas ce long voyage sans toi.

C’est ainsi que tous deux restèrent de longues minutes immobiles, lui accroupit, elle allongée, s’observant mutuellement, et tentant de deviner les pensées de l’autre, aussi fugace soient-elles. Cette fois ce n’était pas un silence gênant, c’était le genre de pause nécessaire pour réfléchir et assimiler tout ce qui venait d’être dit.
Une fois prêt, Zack changea de sujet, non pas parce que l’autre ne l’intéressait plus. Simplement parce qu’il était curieux :

-Sinon, il parait que tu écris un livre ? De quel livre s’agit-il ?

La main de Zack s’était arrêtée de caresser la longue chevelure de Shana, elle était à présent posée sur son épaule.
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MessageSujet: Re: Difficile d'allumer un feu [PV Zack]   Difficile d'allumer un feu [PV Zack] EmptyMar 18 Oct - 17:43

Sans que je m'y attende, il me prise dans ces bras comme dans les comtes de fées. Comme ci j'étais une princesse. Je pensais qu'il allait s'enfuir a toutes jambes en écoutant mes paroles mais non, il prit soin de moi en m'adressant un sourire. Ces paroles me gifla presque le visage. Je le regardait les yeux grand comme un enfant qui découvrait un parc d'attraction pour la toute première fois. Il m'allongea sur la banquette en prennent précieusement ma tête entre ces mains pour y placer un cousin sous ma nuque. Dans ma tête tout était chambouler, tout allait trop vite. Cela me donnais le tournis mais je ne dis rien.

Son geste suivant était toujours aussi sympathique vis a vis de moi. Moi qui a été prise pendant tant d'année pour une folle, aujourd'hui je me sentais plus normal, moi folle. Que j'étais faible. Plus faible que qui qu'on que, je me faisais passer pour une dur a cuir pour ne pas qu'on repère ma faiblesse. Mais lui, la percevait à présent, j'en étais certaine. Ma boche avait parler plus vite que mon cerveau pour réagir et m'interdire dans dire plus. Mais bizarrement je ne me santais ni mal à l'aise, ni dépiter d'avoir tant parler a coeur ouvert. La seule chose qui me faisais peur a cet instant même, était le fait qu'il prenne soin de moi par pur pitié. Je ne savais pas ce qu'il était réellement, je ne savais pas quel genre d'homme était-il réellement. Mais je ne voulais pas y pensée, je voulais profiter de cet instant de soulagement et ne pas recommencer a réfléchir. Cela gâcherait tout.

Il me demanda si j'allais mieux, j'allais me mettre a parler quand je le vit prendre une couverture. Je n'avais pas froid, certes j'étais humaine et mon corps fragile comme du verre contrairement à lui. Mais je n'allais pas mourir de froid dans cette pièce. J'avais tellement chaud que je pouvais bien confondre la chaleur avec une canicule d'été. Mais je le laissa faire pour pas le contrarier. Ces mains jouaient dans mes cheveux, je ne dis rien et l'écouta parler en le fixant. J'avais envie de fermer les yeux mais ne le fis pas pour ne pas le couper dans son élan et ne pas le frustrer. Ce geste aurait pu être mal inter-prêter, il aurait pu croire que sa vie ne m'intéressais pas ou ces paroles alors que c'était tout le contraire.

Son sourire me donna encore plus chaud mais les parole qui suivirent me donna envie de pleurer. Je ne dis rien et hocha la tête. Je le fixait, essayant de deviner ce qu'il pensait par ce "chemin". Mais ne parvins a rien. Il me demanda ensuite de quoi parlait ce "fameux livre". Sa main se posa ensuite sur mon épaule, je souris et commença a parler.

-Il parle d'un sujet sur lequel je suis fasciner ces derniers temps. Il m'entoure toutes les secondes et pourtant, je ne comprend toujours pas quel es le secret de ce monde parallèle au mien. J'écris donc mes hypothèses, pour le peu que j'en ai et ce que je vois autour de moi. J'interprète en faite. Ce livre reflète ma vision de la vie après la mort entre autre. Je ne pense pas qu'il t'intéresse.

Je m'assis sur la banquette en laissa la couverture sur mes jambes en calant mon dos sur le dossier de la banquette. Elle était moelleuse et chaleureuse. Je n'y prêtais jamais attention jusqu'à aujourd'hui car tout me semblait froid. Mais j'ai une autre vision de la vie, depuis que mon coeur a parler plus vite que mon cerveau, dirais-je. Avant que mes larmes ne sortent enfin, je me jeta au cou de Zack et posa mon menton dans le creux qui se situe entre son épaule et son visage. J'empêchais mon corps de trembler de nouveau et laissa deux larmes, une de chaque oeil, s'échapper et faire son voyage jusqu'à mon menton. Une fois cette scène fini, je le lâcha et me mise droite devant lui.

-Tu n'a plus besoin de t'inquièter, je suis certes humaine mais tout ce qui ne nous tuent pas, nous rend plus fort, non? Puis, je ne crains pas le froid. J'ai prise l'habitude de temps de froid. Et mes cheveux son juste humide, je ne risque pas de tomber malade. Mais mer... Merci quand même de t'avoir inquièter. Si tel a été le cas.

Je lui adressa un sourire et me laissa tomber sur la banquette en fermant les yeux. Il n'y avait pas beaucoup de lumière mais cela était très bien pour mes yeux. Trop de lumière m'aurais forcer a faire une sieste. Hors, je détèstais faire des siestes. Je gâchais du temps précieux. Il y avait la nuit pour dormir et je voulais me contenter des heures normales pour le faire.
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