Cela faisait maintenant quelques heures qu'Itachi était arriver au pensionnat. Son premier point de vue ? Vraiment étrange. Ce coin n'était pas banale pour un sous et pourtant, cela ne lui retira guère cette envie de revoir les femelles sordides de son enfance. Il voulait en découvrir d'autres. Pas forcément des sirènes. Toutes les races l'intéressait a vrai dire, même si, il gardera une préférence pour la belle blonde de son enfance. Peut-être rencontrera-t-il une bande de fille identique a ces vieilles folles. Aussi déjantée et magnifique qu'elles. Il en rêvait, mais le rêve ne sonnait-il pas faux ? Retrouverait-il réellement ce doux parfum amère qui a tant bercer sa jeunesse pervertie ?

C'était l'heure de perdre toute la saleté de la ville. L'air n'était pas aussi bonne que celle de l'océan, la vie d'ici était bien différente sur différent point. Et pourtant, malgré ses manques, jamais il ne retournerait au fin fond de l'océan pour se cacher des humains comme une bête de foire. Il préférait être a l'air libre et regarder ces humaines qui étaient banales. Même le maquillage ne changeait pas leur mocheté. Que dire ! Il y a des exceptions, mais rare le sont. Elle n'ont pas le coté animal qu'il recherchait en celles qui l'aimait tant. Il ne trouvera pas ce regard sadique empli de pouvoir auprès de cette "sous-espèce" comme il les appellent.

C'est dans l'un des couloirs inondé de noir qu'il aperçut une fine silhouette danser. Mais ce qui le frappa le plus, ce n'était pas la tenue sexy, ni les courbes sensuelles de la fille. C'était son regard empli de domination qui criait envoutement. Ses yeux parlait a la place de sa bouche, a cet instant même, ce qu'elle voulait c'était dominer un homme.


A peine arriver qu'il trouva la perle rare. Un sourire taquin s'afficha sur son visage, la soumission de ses yeux avait fait leur effet. Il s'approcha lentement, ses yeux cacher par sa frange dans celle de la danseuse. Le visage cacher par un masque a gaz, comme a son habitude. Il portait une veste trop large pour lui de couleur rouge vif, ainsi qu'une chemise noir et un jean d'un bleu presque nuit. Il aurait pu se confondre avec les ténèbres du couloir si seulement son gilet ne criait pas victoire face aux minis vaisseaux lumineux.

C'est en s'approchant d'un mètre d'elle qu'il s'arrêta, fixant ses étranges oreilles. Une elfe ! Il pensait que seul les femelles de sa race était emploi a avoir une telle force de persuasion, mais il s'était tromper. Il rit silencieusement, approchant sa main, doigts tout écartés, près de l'une de ses oreilles. Ses cheveux d'une longueur incalculable était doté d'un bleu profond et brillant sous les reflets des minis rayons lunaire. Tout était charismatique chez cette femelle étrangère. C'est au moment où il effleura son oreille qu'il repris sa lucidité.

Reculant son bras précipitamment, un craquement se fit entendre. Son coude avait craquer sous la vitesse avec laquelle il avait retirer sa main de la femelle. S'approchant de son visage, il senti son haleine sur le sien. Ce qui voler ses cheveux brun. Ses yeux d'un bleu unique brillait comme si les étoiles étaient venu s'installer dans son regard. En réalité, c'était juste l'excitation de sa trouvaille qui donnait cet effet si puéril. C'est comme ci le jouet qu'il attendait depuis des années était enfin arriver. Plus vive que ses rêves, plus véritable que ses pensées, plus sadique que la jolie blondinette aquatique.

-Bonsoir jeune elfe. Vous savez que traînez tardivement dans ce genre d'endroit peu devenir dangereux ? Très dangereux même. Vous feriez mieux de ne pas chercher d'ennui.

Il dévoila ses dents blanches et bien alignés à la jeune femme. Souhaitant l'intimidé, ou la froissée. Après tout, il n'en fallait pas peu pour qu'une femme parte au quart de tour. Et que la soumission débute. C'est tout ce qu'il attendait, que la soumission le gagne. Maso ? Oh oui, il l'était. Mais pouvons nous le jugé ? Ne le sommes nous tous pas ? Même un minimum. C'était tellement douloureux dans ses souvenirs, qu'il voulait revivre cela. Il ne voulait pas oublié cette sensation qu'il trouvait unique. Il ne pouvait la trouver nulle part ailleurs. Sauf chez cette femelle malsaine !